D’ici 2030, plus de 85 millions de postes pourraient rester vacants faute de talents disponibles, selon McKinsey. Dans le même temps, les entreprises font face à une hausse des coûts salariaux, à des difficultés de recrutement et à la nécessité d’adapter leurs modèles aux nouvelles attentes : flexibilité, digitalisation et travail à distance.
Confrontées à cette situation complexe, le recrutement international et le travail à distance apparaissent comme des leviers stratégiques. Ils permettent non seulement d’accéder à un vivier mondial de compétences, mais aussi de réduire les coûts et de gagner en agilité. Pour les entreprises, il ne s’agit plus seulement de trouver des profils rares : il s’agit d’intégrer durablement des équipes distribuées capables de soutenir leur croissance.
L’Afrique se positionne comme un acteur clé. Avec la population la plus jeune et la plus dynamique du monde, des millions de talents qualifiés cherchent aujourd’hui à collaborer avec des entreprises internationales. C’est ici qu’intervient Breedj, la plateforme qui simplifie l’accès à ces compétences en combinant technologie, conformité et impact social.
Ce guide a pour objectif de vous donner une vision claire, pratique et concrète du recrutement international en 2025. Vous y trouverez les différents modèles existants, les pays les plus attractifs, des comparatifs de coûts, ainsi que des conseils pour réussir vos intégrations à distance.
1. Comprendre le recrutement international
1.1. Un marché du travail en tension
Le recrutement n’a jamais été aussi complexe. Selon le World Economic Forum, 54 % des entreprises à travers le monde déclarent avoir des difficultés à trouver les compétences dont elles ont besoin. Cette pénurie est particulièrement marquée dans les secteurs de la tech, du support client et des métiers spécialisés. Résultat : les délais de recrutement s’allongent, les salaires augmentent et la compétitivité des entreprises est menacée.
1.2. L’émergence d’une main-d’œuvre mondiale
La généralisation du télétravail depuis la crise sanitaire a ouvert une nouvelle ère : celle du recrutement sans frontières. Aujourd’hui, une entreprise basée à Paris peut collaborer avec un développeur à Dakar, un agent de support à Antananarivo ou un comptable à Casablanca, sans contraintes majeures de distance. Le digital et les outils collaboratifs (Slack, Teams, Zoom, Asana) rendent cette organisation fluide et efficace.
1.3. Pourquoi recruter à l’international ?
Le recrutement international présente plusieurs avantages stratégiques :
- Accès à de nouveaux viviers de talents : Afrique, Europe de l’Est, Amérique latine… autant de bassins de compétences encore sous-exploités.
- Réduction des coûts : recruter un profil équivalent à l’étranger peut représenter une économie de 30 à 60 % par rapport à une embauche locale.
- Agilité et flexibilité : adaptation rapide aux besoins, possibilité de constituer des équipes projet en quelques jours.
- Diversité et innovation : intégrer des talents de cultures différentes favorise la créativité et l’ouverture de nouveaux marchés.
1.4. L’Afrique, nouvelle frontière du recrutement
Avec plus de 1,3 milliard d’habitants, dont 60 % ont moins de 25 ans, l’Afrique est le continent le plus jeune au monde. Chaque année, plus de 12 millions de diplômés rejoignent le marché du travail. Pourtant, faute d’opportunités locales, beaucoup se tournent vers l’émigration.
Le recrutement international, lorsqu’il est bien encadré, permet de retenir ces talents sur place tout en offrant aux entreprises un accès privilégié à des compétences qualifiées et motivées.
1.5. Les enjeux à anticiper
Recruter à l’international ne se résume pas à signer un contrat. Les entreprises doivent anticiper :
- Les aspects juridiques et fiscaux (conformité locale, contrats, paie).
- Le management interculturel et le suivi des performances.
- La mise en place d’un onboarding adapté au télétravail.
C’est précisément sur ces points que des plateformes comme Breedj interviennent, en offrant une solution clé en main pour sécuriser et simplifier le recrutement international.
2. Les modèles d’externalisation expliqués
Le recrutement international n’est pas un modèle unique. Il existe plusieurs approches, chacune avec ses avantages, ses limites et son contexte d’application. Comprendre ces options est essentiel pour choisir la solution la mieux adaptée à vos besoins.
2.1. Employer of Record (EOR)
L’Employer of Record (EOR) est une solution de plus en plus populaire. Dans ce modèle, une société tierce (comme Breedj) devient l’employeur officiel du talent dans son pays de résidence.
- Avantages :
- Pas besoin de créer une entité juridique locale.
- Gestion complète des obligations légales (contrat, paie, déclarations fiscales, conformité).
- Accès rapide à des talents dans plusieurs pays.
- Limites :
- Coût légèrement supérieur à une embauche directe.
- Moins de flexibilité que le freelancing pur.
👉 Pour les entreprises qui veulent sécuriser leur recrutement international sans complexité administrative, l’EOR est la solution la plus simple.
2.2. Recruitment Process Outsourcing (RPO)
Le RPO consiste à déléguer tout ou partie du processus de recrutement à un prestataire externe.
- Avantages :
- Gain de temps pour les équipes RH.
- Accès à l’expertise du prestataire (sourcing, sélection, entretiens).
- Adapté aux besoins récurrents ou à grande échelle.
- Limites :
- Ne couvre pas toujours la paie ni la conformité légale (contrairement à l’EOR).
- Peut manquer de personnalisation si le prestataire n’est pas spécialisé.
👉 Le RPO est intéressant pour les entreprises en phase de forte croissance ou celles qui lancent de grands projets de recrutement.
2.3. Freelancing international
Le freelancing permet de travailler avec des indépendants partout dans le monde, via des plateformes ou en direct.
- Avantages :
- Flexibilité maximale (missions ponctuelles ou à temps partiel).
- Pas de charges sociales ni d’engagement à long terme.
- Idéal pour tester de nouveaux marchés ou projets.
- Limites :
- Moins de stabilité et de loyauté des talents.
- Risques de non-conformité si le freelance est en réalité un salarié déguisé.
- Gestion administrative (paiements internationaux, contrats) laissée à l’entreprise.
👉 Le freelancing est parfait pour des missions courtes ou spécialisées, mais moins adapté pour des postes stratégiques et continus.
2.4. Portage salarial international
Le portage salarial est une solution hybride. Le talent est juridiquement salarié par une société de portage (comme Breedj), mais reste autonome dans la gestion de ses missions.
- Avantages :
- Sécurité sociale et avantages pour le talent (assurance, retraite).
- Simplicité pour l’entreprise (un contrat de prestation unique).
- Adapté aux missions longues avec engagement fort.
- Limites :
- Coût légèrement plus élevé que le freelancing pur.
- Moins flexible qu’un contrat indépendant.
👉 Le portage salarial est idéal pour des missions longues et stratégiques, où la stabilité est clé, tout en conservant de la souplesse.
2.5. Comparatif des modèles
| Modèle | Idéal pour… | Avantages clés | Limites principales |
|---|---|---|---|
| EOR | Embauches sécurisées à l’international | Conformité, paie, simplicité | Coût supérieur à l’embauche locale |
| RPO | Recrutements en volume | Expertise RH, rapidité | Ne couvre pas toujours la paie |
| Freelancing | Missions ponctuelles / spécialisées | Flexibilité, coût réduit | Instabilité, conformité incertaine |
| Portage salarial | Missions longues avec sécurité | Avantages sociaux + souplesse | Coût supérieur au freelance pur |
2.6. Comment choisir le bon modèle ?
Le choix dépend de trois critères :
- Durée du besoin : mission ponctuelle (freelance) ou poste long terme (EOR, portage).
- Niveau de risque accepté : flexibilité vs conformité juridique.
- Budget disponible : arbitrer entre coût direct et sécurisation administrative.
Breedj se distingue en proposant un panier complet de solutions (EOR, portage, freelancing) pour s’adapter à chaque situation, avec une transparence totale sur les coûts (390 €/mois + salaire).
3. Les pays les plus attractifs en 2025
Recruter à l’international, c’est aussi savoir où chercher. Tous les pays n’offrent pas les mêmes avantages en termes de coûts, de compétences, de langue ou de stabilité. Voici un panorama des destinations les plus attractives pour les entreprises en 2025.
3.1. Maurice : hub stratégique de l’océan Indien
- Atouts :
- Infrastructure moderne et haut débit fiable.
- Bilinguisme français/anglais, idéal pour couvrir plusieurs marchés.
- Stabilité politique et fiscale.
- Compétences clés : IT, services financiers, support client, BPO.
- Salaires moyens : un développeur coûte en moyenne 1 200 – 1 800 € brut/mois, soit 2 à 3 fois moins qu’en Europe.
👉 Maurice est une porte d’entrée stratégique pour gérer une équipe internationale et servir à la fois l’Europe, l’Afrique et l’Asie.
3.2. Madagascar : le champion du back-office francophone
- Atouts :
- Main-d’œuvre jeune et francophone.
- Coûts très compétitifs.
- Expertise reconnue dans le back-office, la data et le support client.
- Compétences clés : saisie de données, assistance virtuelle, relation client.
- Salaires moyens : un agent de support débute autour de 250 – 400 € brut/mois.
👉 Madagascar est une destination privilégiée pour les entreprises souhaitant réduire fortement leurs coûts tout en accédant à des talents francophones.
3.3. Maroc : la proximité culturelle et géographique
- Atouts :
- Proximité de l’Europe (fuseau horaire quasi identique).
- Fort niveau d’éducation et écoles d’ingénieurs reconnues.
- Infrastructures numériques solides.
- Compétences clés : IT, relation client, ingénierie.
- Salaires moyens : un ingénieur logiciel gagne entre 800 – 1 200 € brut/mois.
👉 Le Maroc est un allié stratégique pour les entreprises européennes qui recherchent des profils qualifiés avec une intégration culturelle facilitée.
3.4. Tunisie : un vivier d’ingénieurs qualifiés
- Atouts :
- Longue tradition d’externalisation pour l’Europe.
- Haut niveau de formation technique (notamment en ingénierie).
- Bon rapport qualité/prix.
- Compétences clés : développement logiciel, ingénierie, support technique.
- Salaires moyens : un développeur gagne environ 700 – 1 000 € brut/mois.
👉 La Tunisie combine expertise technique et compétitivité, idéale pour des projets IT structurés.
3.5. Sénégal : le futur hub ouest-africain
- Atouts :
- Jeunesse de la population (plus de 60 % a moins de 25 ans).
- Stabilité démocratique et attractivité croissante pour les investisseurs.
- Forte francophonie et essor du numérique.
- Compétences clés : service client, digital marketing, IT.
- Salaires moyens : un community manager coûte en moyenne 400 – 600 € brut/mois.
👉 Le Sénégal est en train de devenir un pôle digital régional, idéal pour des entreprises qui veulent anticiper la croissance africaine.
3.6. Côte d’Ivoire : un marché en pleine expansion
- Atouts :
- Croissance économique soutenue depuis 10 ans.
- Forte urbanisation et montée en compétences.
- Jeune génération francophone très connectée.
- Compétences clés : comptabilité, finance, relation client, IT.
- Salaires moyens : un comptable coûte en moyenne 600 – 800 € brut/mois.
👉 La Côte d’Ivoire est une destination prometteuse pour les entreprises cherchant à s’ancrer dans l’Afrique de l’Ouest.
3.7. Autres hubs émergents
- Rwanda : reconnu pour sa stabilité, son orientation tech et ses politiques pro-business.
- Cameroun : main-d’œuvre francophone nombreuse, en particulier dans le support client.
4. Comment réussir un recrutement international
Recruter à l’international n’est pas qu’une question de coûts. C’est un processus qui doit être structuré, anticipé et sécurisé pour garantir le succès. Voici les étapes clés pour réussir.
4.1. Définir clairement son besoin
Avant de lancer le recrutement, il est essentiel de préciser :
- Le profil recherché : compétences techniques, niveau d’expérience, soft skills.
- Le modèle adapté : freelance, portage salarial ou EOR (Employer of Record).
- La durée et l’engagement attendu : mission ponctuelle, CDD ou poste stratégique long terme.
👉 Exemple : une PME qui veut externaliser son support client choisira plutôt Madagascar (back-office compétitif) avec un modèle portage salarial ou EOR pour sécuriser la continuité.
4.2. Structurer le processus de sélection
Un bon recrutement international repose sur :
- Un sourcing ciblé : utiliser des plateformes spécialisées comme Breedj plutôt que des job boards généralistes.
- Des entretiens adaptés au télétravail : tester non seulement les compétences techniques mais aussi la communication à distance.
- Des tests pratiques : études de cas, simulations ou missions courtes pour valider les compétences réelles.
👉 Breedj propose un matching intelligent qui réduit le temps de sélection et fiabilise la qualité des profils présentés.
4.3. Soigner l’onboarding à distance
Un recrutement réussi passe par un onboarding structuré. Les premiers jours sont cruciaux pour intégrer un talent international.
- Communication claire : partager la mission, les attentes et les KPI dès le départ.
- Accès aux outils : emails, logiciels, documents partagés, process internes.
- Mentorat : assigner un référent interne qui accompagne le talent les premières semaines.
- Culture d’entreprise : organiser une visio de bienvenue pour renforcer le lien humain.
👉 Une étude de Glassdoor montre que les entreprises avec un onboarding efficace améliorent la rétention de 82 %.
4.4. Manager une équipe distribuée et multiculturelle
Le management à distance est un défi qui peut vite devenir une force si bien encadré.
- Fixer des objectifs clairs : privilégier les résultats (OKR, KPI) plutôt que la présence horaire.
- Favoriser la communication asynchrone : Slack, Teams, Notion pour éviter les pertes de temps.
- Célébrer les réussites : reconnaître les efforts renforce la motivation malgré la distance.
- Respecter les différences culturelles : adapter son style de communication selon les contextes (ex. plus direct en Europe, plus collaboratif en Afrique).
👉 Les entreprises qui adoptent une culture de la transparence et du feedback voient une hausse de 25 % de la productivité (Harvard Business Review).
4.5. Mettre en place les bons outils
La réussite d’un recrutement international repose sur l’usage d’outils adaptés :
- Communication : Zoom, Google Meet, Teams.
- Collaboration : Notion, Trello, Asana, Jira.
- Suivi des performances : Hubstaff, Time Doctor, 15Five.
- Gestion de paie internationale : solutions Breedj (EOR, portage salarial, automatisation des paiements).
👉 Breedj intègre déjà la conformité légale, la paie et le suivi RH dans sa solution, ce qui réduit le nombre de prestataires à gérer.
4.6. Sécuriser la conformité et les paiements
Un des plus grands risques du recrutement international réside dans la non-conformité juridique :
- Mauvaise déclaration des salaires.
- Contrats non conformes aux lois locales.
- Risques fiscaux pour l’entreprise et le talent.
Avec un EOR ou un portage salarial via Breedj, ces risques sont couverts : le contrat est conforme à la loi locale et la paie est gérée en toute transparence.
4.7. Résumé des bonnes pratiques
- Définir précisément son besoin.
- Choisir le bon modèle d’externalisation.
- Sélectionner via un sourcing qualifié.
- Structurer l’onboarding et le suivi.
- Utiliser des outils collaboratifs modernes.
- Garantir la conformité avec un partenaire fiable.
👉 Avec Breedj, les entreprises peuvent se concentrer sur leur croissance, tout en déléguant la complexité juridique, administrative et RH.
5. Réduction des coûts et ROI
L’un des arguments les plus forts du recrutement international est sans conteste la réduction des coûts. Mais au-delà du simple salaire, il est essentiel de mesurer le retour sur investissement (ROI) global : productivité, continuité et impact stratégique.
5.1. Pourquoi le recrutement international fait gagner de l’argent
- Différentiels salariaux : entre l’Europe et l’Afrique, l’écart peut atteindre 40 à 70 % pour des profils équivalents.
- Charges sociales réduites : dans beaucoup de pays africains, les contributions obligatoires sont plus faibles que dans l’UE.
- Pas de coûts cachés : avec un modèle EOR ou portage salarial, tous les frais sont connus à l’avance (390 €/mois + salaire chez Breedj).
- Productivité immédiate : grâce au digital, les talents sont opérationnels dès l’onboarding, sans délais administratifs liés à une création d’entité.
👉 Selon une étude de Deloitte, les entreprises qui externalisent économisent en moyenne 30 % de leurs coûts RH.
5.2. Étude de cas : une PME française
Une PME du secteur SaaS en France devait recruter 3 agents de support client.
- Option France : 3 x 2 200 € = 6 600 €/mois.
- Option Madagascar via Breedj : 3 x (350 € + 390 €) = 2 220 €/mois.
Économie réalisée : 4 380 €/mois, soit plus de 52 000 €/an.
Avec ces économies, l’entreprise a pu financer son développement produit tout en améliorant sa qualité de service grâce à une équipe élargie.
5.3. ROI global au-delà du salaire
Réduire les coûts est une première étape, mais le ROI doit aussi être mesuré sur :
- La rapidité de recrutement : quelques jours avec Breedj contre plusieurs mois en France.
- La continuité des opérations : possibilité de recruter 24/7 avec des équipes dans différents fuseaux horaires.
- L’impact stratégique : élargir son équipe sans exploser les budgets permet d’accélérer l’innovation.
👉 Selon une enquête PwC, les entreprises qui adoptent un modèle hybride onshore/offshore constatent une hausse moyenne de 19 % de leur capacité d’innovation.
5.4. Résumé clé
- Les économies directes sur les salaires peuvent atteindre 70 %.
- Le ROI inclut aussi la rapidité, la flexibilité et la continuité des opérations.
- Breedj garantit des coûts clairs, fixes et transparents (390 €/mois + salaire).
👉 Avec Breedj, le recrutement international n’est pas seulement une question de coûts réduits : c’est une stratégie de croissance durable, permettant aux entreprises de gagner en compétitivité tout en contribuant à l’économie locale des pays émergents.
6. L’impact social et durable du recrutement international
Le recrutement international ne se limite pas à une stratégie de réduction des coûts. Bien mené, il peut devenir un puissant levier d’impact social et de développement durable. Chez Breedj, cette dimension fait partie intégrante du modèle : chaque recrutement crée une valeur partagée, à la fois pour l’entreprise cliente, pour le talent, et pour le pays d’accueil.
6.1. Lutter contre la fuite des cerveaux
Depuis des décennies, les talents africains qualifiés ont souvent dû quitter leur pays pour trouver des opportunités professionnelles. Cette fuite des cerveaux prive les économies locales de compétences essentielles et fragilise leur développement.
En proposant des contrats internationaux tout en permettant aux talents de rester dans leur pays, Breedj participe à inverser cette tendance.
👉 Résultat : les talents construisent leur carrière sans s’exiler, et les pays conservent leurs forces vives.
6.2. Améliorer le pouvoir d’achat et la qualité de vie
Lorsqu’une entreprise internationale recrute via Breedj, elle contribue directement à l’amélioration du pouvoir d’achat local.
- Un agent de support payé 400 € brut/mois à Madagascar gagne souvent le double du salaire moyen local.
- Ces revenus supplémentaires permettent aux talents de mieux consommer, d’investir dans l’éducation de leurs enfants et de contribuer à l’économie nationale.
👉 Selon une étude interne, 78 % des talents recrutés via Breedj déclarent avoir vu leur qualité de vie significativement s’améliorer.
6.3. Créer des emplois formels et sécurisés
Dans de nombreux pays émergents, une grande partie de la population active travaille dans l’informel, sans couverture sociale ni droits du travail.
Grâce au modèle Breedj (EOR, portage salarial), les talents accèdent à :
- Des contrats conformes à la législation locale.
- Une couverture sociale (santé, retraite, assurances).
- Une sécurité professionnelle à long terme.
👉 Ce passage de l’informel au formel contribue à la structuration du marché du travail et à l’amélioration des protections sociales.
6.4. Soutenir l’Objectif de Développement Durable (ODD)
Le recrutement international par Breedj s’inscrit directement dans plusieurs ODD de l’ONU :
- ODD 4 – Éducation de qualité : les revenus stables permettent d’investir dans l’éducation.
- ODD 8 – Travail décent et croissance économique : Breedj crée des emplois stables et formels.
- ODD 10 – Réduction des inégalités : en donnant accès aux talents des pays émergents à des opportunités internationales.
👉 Chaque contrat signé n’est pas seulement une transaction économique, mais un acte d’impact social mesurable.
6.5. Témoignages et résultats
- Une PME française a externalisé son support IT via Breedj au Sénégal. Résultat : réduction de 60 % des coûts, mais surtout création de 15 emplois stables dans un quartier de Dakar.
- Une entreprise canadienne a recruté des data analysts en Côte d’Ivoire. Résultat : amélioration de la qualité des données, mais aussi augmentation du revenu moyen de 5 familles qui ont pu scolariser leurs enfants dans le privé.
6.6. Breedj : un partenaire d’impact
Contrairement aux plateformes classiques qui se contentent de mettre en relation, Breedj se positionne comme :
- Un pont entre les entreprises et les talents.
- Un garant de conformité et de sécurité.
- Un catalyseur d’impact social, en contribuant directement à la croissance locale.
6.7. En résumé
- Le recrutement international via Breedj contribue à retenir les talents dans leur pays.
- Il améliore le pouvoir d’achat et la qualité de vie des travailleurs.
- Il participe à la création d’emplois formels et sécurisés.
- Il aligne les entreprises sur des objectifs RSE et ODD concrets.
👉 Recruter avec Breedj, c’est faire le choix d’une stratégie gagnant-gagnant : compétitivité pour l’entreprise, opportunités pour le talent, développement pour le pays.
7. Étapes pratiques pour les entreprises
Recruter à l’international peut sembler complexe au premier abord. Pourtant, en suivant une méthode claire, il devient un processus fluide et sécurisé. Voici les 5 étapes pratiques à suivre pour réussir votre stratégie de recrutement international.
7.1. Étape 1 : Identifier vos besoins réels
Avant toute démarche, clarifiez vos attentes :
- Quels postes sont difficiles à pourvoir localement ?
- Cherchez-vous à réduire vos coûts, à gagner en flexibilité, ou à accéder à des compétences rares ?
- Quelle durée d’engagement visez-vous (mission ponctuelle, CDD, poste stratégique à long terme) ?
👉 Conseil Breedj : définissez un cahier des charges RH simplifié listant compétences techniques, soft skills et niveau d’expérience attendu.
7.2. Étape 2 : Choisir le bon modèle d’externalisation
Comme vu au chapitre 2, le choix du modèle dépend de vos objectifs :
- Freelancing : pour des missions courtes ou spécialisées.
- Portage salarial : pour un équilibre entre sécurité et flexibilité.
- EOR : pour une intégration sécurisée et long terme sans créer d’entité locale.
👉 Conseil Breedj : utilisez notre diagnostic gratuit pour savoir en quelques minutes quel modèle correspond le mieux à votre besoin.
7.3. Étape 3 : Sécuriser la conformité et les paiements
La plus grande crainte des entreprises reste le risque juridique et fiscal.
- Chaque pays a ses propres lois du travail.
- Les erreurs de contrat ou de paie peuvent générer des pénalités lourdes.
👉 Conseil Breedj : en tant qu’Employer of Record, nous gérons 100 % de la conformité locale (contrats, paie, déclarations sociales). Vous n’avez aucun risque, et vos talents sont en situation légale et sécurisée.
7.4. Étape 4 : Intégrer et manager vos talents
Une fois le contrat signé, l’enjeu est de réussir l’onboarding et le management :
- Préparez un plan d’intégration : présentation de l’équipe, outils collaboratifs, objectifs.
- Établissez un suivi clair via des KPI et OKR.
- Favorisez la communication régulière (weekly calls, reporting simple).
- Pensez à valoriser les réussites, même à distance.
👉 Conseil Breedj : nous fournissons un kit d’onboarding à distance pour aider vos managers à intégrer efficacement un talent international.
7.5. Étape 5 : Optimiser et scaler
Une fois vos premiers recrutements réussis, vous pouvez élargir votre stratégie :
- Multiplier les profils (support, IT, marketing, finance).
- Diversifier les pays pour équilibrer les risques et profiter de compétences variées.
- Mettre en place un pilotage RH global avec des outils centralisés.
👉 Conseil Breedj : nos solutions SaaS permettent de gérer tous vos talents internationaux depuis un tableau de bord unique, avec paie, suivi et reporting intégrés.
7.6. Résumé en checklist
✅ Définir vos besoins avec précision.
✅ Choisir le modèle adapté (freelance, portage, EOR).
✅ Sécuriser les aspects légaux et fiscaux.
✅ Réussir l’onboarding et le management à distance.
✅ Optimiser et scaler progressivement.
7.7. Pourquoi Breedj simplifie ces étapes
- Accompagnement sur mesure : conseil pour identifier vos besoins.
- Solution clé en main : conformité, paie, contrats gérés par nos équipes locales.
- Plateforme digitale : tout centralisé dans un outil unique.
- Impact positif : chaque recrutement contribue à l’économie locale et à la création d’emplois durables.
👉 Avec Breedj, les entreprises n’ont plus besoin de jongler entre plusieurs prestataires. Tout est centralisé, sécurisé et aligné sur vos objectifs de croissance.
Le recrutement international et le travail à distance ne sont plus des tendances passagères : ils redessinent en profondeur la façon dont les entreprises accèdent aux compétences. En 2025, les entreprises qui savent ouvrir leurs frontières RH gagnent en compétitivité, en agilité et en innovation.
Ce guide vous a présenté :
- Les différents modèles d’externalisation (EOR, RPO, freelancing, portage salarial).
- Les pays les plus attractifs pour recruter à des coûts optimisés.
- Les bonnes pratiques pour réussir l’onboarding, le management et la conformité.
- L’impact social et économique positif que représente le recrutement international.
Mais savoir est une chose. Agir en est une autre.
C’est précisément là qu’intervient Breedj. Notre mission est de rendre le recrutement international simple, légal et à impact positif. Avec nous, vous pouvez :
- Recruter des talents qualifiés en quelques jours.
- Réduire vos coûts RH jusqu’à 70 %.
- Garantir une conformité légale totale dans 8 pays africains.
- Contribuer à un modèle durable qui crée des emplois formels et retient les talents sur place.
👉 Prêt à passer à l’action ?
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Le futur du travail est borderless. Avec Breedj, il est aussi simple, sécurisé et durable.
